La musique de Tchaïkovski est inséparable de ses propres états d’âme, de ses questions existentielles et de sa difficulté d’être, en même temps qu’elle réussit une synthèse particulièrement heureuse entre l’âme russe et les divers courants de la musique occidentale.
Ce sont ces dualités qui seront au cœur des propos de François Hudry et qu’il va essayer d’éclairer en montrant une face moins connue du grand compositeur russe, trop longtemps boudé en France où son trop plein expressif a toujours suscité méfiance et rejet.